
Mesures
Impôt II
À ce stade, le groupe continue de rencontrer les objectif d'essayer de définir une stratégie permettant de réduire les conflits en matière fiscale, avec une approche très large, partant des aspects réglementaires jusqu'à atteindre les applications et se terminant par les mécanismes de contrôle. Amplitude qui doit également être transférée au champ subjectif de l'étude, qui doit être étendu aux contribuables, à l'administration fiscale et aux intermédiaires fiscaux.
Ce groupe travaille à l'élaboration de quelques conclusions qui seront prochainement publiées dans Fide.
- Certitude dans l'interprétation des réglementations fiscales
- Amélioration des incitations à la régularisation volontaire
- L'application des taxes: résolution des conflits lors de la procédure
- L'application des impôts: l'administration fiscale
- L'application des impôts: le rôle des intermédiaires fiscaux
- La révision administrative des actes fiscaux
- La révision contentieuse administrative
- Procédure de collecte
- La génération de conflits en phase d'exécution
- Conflits du régime de sanction
- Conflit dans les impôts régionaux et locaux: particularités et état du sujet
Impôt I
L'analyse de ce groupe de travail s'est focalisée sur la compétence de l'Etat, sans préjudice du fait que les conclusions peuvent être appliquées, avec des nuances, aux niveaux régional et local. Au cours de l'année 2016 et jusqu'à la présentation du document de conclusions le 3 avril 2017, le groupe a tenu des réunions périodiques visant à analyser l'amélioration de la réglementation fiscale.
Faire progresser la purification de la technique normative dans le domaine fiscal est l'objectif de ce travail et en ce sens une série de recommandations sont versées, de nature très diverse avec une vocation clairement pragmatique et orientée vers son application dans le A court terme, il cherche à obtenir un effet de permanence dans le temps, s'intégrant dans la moelle épinière du système, au-delà du caractère substantif de la norme au service de laquelle ils sont.
- Participation des citoyens et autres opérateurs au processus réglementaire.
- Participation à la phase parlementaire et suivi de son traitement.
- Évaluer la commodité de créer un organe consultatif composé d'avocats des Cortes Generales pour étudier chaque projet juridique et faire des suggestions du point de vue de la technique législative.
- Evaluer la création d'un organe pré-législatif qui ferait office de centre technique au service du conseil et de la rédaction des réglementations.
- Progresser dans la régulation des soi-disant groupes d'intérêts et leur participation aux projets de régulation.
- Avoir des règles techniques réglementaires plus précises qui s'imposent à l'Administration.
- Positivisation des critères d'interprétation dans la norme qui, parce qu'ils se répètent et ne génèrent pas de conflits, devraient évoluer de cette catégorie vers celle d'une norme au sens strict, gagnant en sécurité juridique.
- Mettre en place des mécanismes de contrôle ex ante, institutionnaliser les contrôles ex post avec des résultats publics qui donnent lieu à un rapport de recommandations et mener une activité de suivi continu lors de l'application de la norme.
- Ajouter un système de test, qui permet d'identifier tous les facteurs susceptibles d'affecter, positivement ou négativement, la qualité des réglementations fiscales et leur degré d'acceptation et d'efficacité.
Ils ont participé à ce groupe de travail:
- Ignacio Astarloa, avocat des tribunaux généraux et consultant de CMS Albiñana Suárez de Lezo
- Gerardo Codes Calatrava, directeur des services juridiques mondiaux pour la réglementation et les affaires d'entreprise d'Iberdrola
- Miguel Cruz Amorós, avocat. Professeur associé de droit financier et fiscal à l'UNED
- Carlos Dieguez Nieto, avocat associé directeur du droit fiscal chez Broseta Abogados
- Javier Estella Lana, avocat. Associé gérant d'Avantia Conseil fiscal et juridique
- Julio Fuentes Gómez, directeur adjoint de l'unité de droit de la faillite, d'arbitrage et de médiation, ministère de la Justice
- Jesús Gascón Catalán, inspecteur des impôts et inspecteur des services de l'AEAT
- Eduardo Gracia Espinar, associé directeur de la pratique fiscale d'Ashurst LLP
- Manuel Gutiérrez Lousa, spécialiste au département Fiscalité du groupe BBVA et professeur associé de fiscalité à l'Université Complutense de Madrid
- Ana María Juan Lozano, professeur de droit financier et fiscal à l'Université de Valence, professeur accrédité
- Maximino Linares Gil, associé, EY Abogados
- Luis López-Tello, Directeur Corporate, Economique et Fiscal de Repsol
- Javier Martín Fernandez, avocat. Professeur ordinaire au Complutense de droit financier et fiscal. Président du Conseil de défense des contribuables
- David Mellado Ramírez, avocat chez PWC. Procureur d'État en congé
- Jaume Menéndez Fernández, directeur de la fiscalité du groupe Gas Natural Fenosa
- Alejandro Miguélez Freire, avocat et économiste. Membre de la Section des Droits et Garanties et Pratique Fiscale de l'AEDAF
- Antonio Montero Domínguez, avocat au cabinet d'avocats CMS-Albiñana-Suárez de Lezo, chef du département fiscal Miguel Muñoz Pérez, associé procédures de l'Union européenne dans le domaine des procédures fiscales d'EY Abogados; Jesús Rodríguez Márquez, professeur de droit financier et fiscal et associé directeur du domaine de pratique fiscale de F & J Martín Abogados
- Beatriz Rodríguez Villar, avocate au Conseil d'État. Professeur collaborateur à l'Université pontificale de Comillas-ICADE
- Salvador Ruiz Gallud, associé, équipe économique et José María Utande San Juan, avocat à la Cour constitutionnelle.
Toutes les personnes qui ont participé à ce groupe de travail de Fide, l'ont fait à titre personnel et non au nom des entités, bureaux, universités ou entreprises, où ils exercent leur travail professionnel, de sorte que ces conclusions ne reflètent pas et n'incluent pas les positions institutionnelles mais plutôt celles particulières de chacun de les membres du groupe.
Le processus d'élaboration de la réglementation fiscale: situation actuelle et sa nécessaire évolution
Document de conclusions.
Publié le 3 avril 2017